La suppression par défaut des données sur les tiers dans le cadre d'un courrier de psychiatrie, si elle s'inspire du respect du RGPD, est malheureusement tout à fait inadaptée à la rédaction d'un rapport pertinent concernant la situation psycho sociale du patient, et diminue trés nettement la pertinence du module AI. Possibilité d'envisager que le clinicien choisisse si il publie ou non ces informations sensibles, mais essentielles ?